LA PERSONNE HUMAINE
PEUT-ON AU NOM DE LA SCIENCE SACRIFIER LA VERITE SUR LE PASSE?
(Dialogue avec un marxiste)
DE LA LOGIQUE DE L’ÉTERNITÉ
Unicité des proto-particules
Faut-il faire la différence entre les notions ’Univers’ et ’Espace sidéral’ pour etre sur qu’il ne s’agit pas d’un pléonasme ? Pour faire cette différentiation, il faut tout d’abord connaitre l’origine et la nature de ces deux notions données afin d’éliminer la dubitation que ce soit dans la logique cartésienne ou hégélienne ( Chez le premier, c’est l’ordre de la raison qui précise la place du doute et chez le second, c’est la critique elle-même qui généralise la fonction du doute).
Intuitivement, on sait que l’infiniment grand n’est compréhensible que grace à la notion précise de l’infiniment petit. Or, la valeur des connaissances intuitives sont généralement évaluées par leur propre logique dans l’essentiel de l’axiomatique – dans l’ensemble de tout ce qui se tient en cohérence, c’est à dire dans la non opposition ni exclusion les uns par les autres (facteur du doute qui précède le savoir).
Pour que la logique de l’infiniment petit puisse etre acceptable dans l’élan intuitif, il faut que l’infiniment petit bénéficie d’une dimension propre. Cela n’étant intelligible que grace à l’oscillation des primes émanations des ’proto-particules’ de la matière (faisant partie d’un ’essaim’) qui ne se stabilise pas par rapport à des proto-particules semblables et jamais identiques.
Cet amas de proto-particules se fait, comme on l’a dit, en ’essaims’ des particules à la base des structures de la matière qui servent de base à l’amorce de la structure des premiers éléments à l’impact de la protomatière et de la matière qui se stabilisent grace à l’échange de la gravitation qui affirme et confirme la permanence des structures de la matière organisée.
Chacun de ces ’essaims’ émis par la protomatière est UN ET UNIQUE. Cette unicité est structurée par rapport à d’autres unicités à tous les niveaux de la verticalité qui confirme sa stabilisation en équilibre évolutif, et ne peut etre identique à aucune autre unicité venant de l’unicité de la protomatière elle-meme. . L’unicité dans l’ensemble des potentialités de la protomatière affirme la totalité de l’infini de la protomatière par le comportement de la prime émanation de chaque unicité qui entrera en une sorte de ’coaxion’ des unicités indénombrables.
L’unicité de chaque élément de base qui provient de l’unicité de l’infiniment grand est une et unique – en excluant toute possiblilité logique de la coexistence des structures dénombrables et identiques. En effet c’est des ces substructures cohérentes et unique que se forment les primes structures de la matière et ainsi sur toute la verticalité de l’épaisseur de la matière. Il en est ainsi au stade de formation des premiers ’essaims’- à la lisière entre la matière et la protomatière-mère de toutes les formations et formes matérielles.
Eternité – les temps de la création
Certes, l’unicité des proto-particules qui en s’associant grace à leur unicité très individuelle et dans la non oppositition persistant dans l’équilibre évolutif à tous les niveaux de la verticalité et durant toute l’épaisseur de la matière, arrivent à maintenir cette stabilité du flux et le reflux de la gravitation – grace à la protomatière qui les maintient chacune dans son unicité originelle. Or, comme les structures, faisant l’unicité entre elles memes, émanant la gravitation dans la meme logique que le maintien des structures dans leur unicité, et cela en permanence, qui définit leur durée (temps relatif) – cette stabilité non figée, et intrinsèquement modulable, se fait dans chaque structure et dans l’ensemble des structures prises à part ou la protomatière se manifeste comme la vie en tant que nature de la Logique de la Création. C’est par là que l’on sait que la vie vient du processus des structures de la matière, allant du plus simple au plus parfait. Il n’y a pas de structures immuables – la mort donc n’existe pas.
Bien que chaque source de chaque système de la structuration de la matière ait sa propre unicité dés le début de la formation des proto-particules, l’ensemble de la matière ainsi créée bénéficie de sa propre unicité – différence de toutes les autres – qui maintient sa particularite en equilibre évolutif – grace à la force permanente de la protomatière-mère et cela dans toutes les verticalités des structures en faisant l’évaluation sur toute l’épaisseur de la matière unique et spécifique et dans tout le système des systèmes – faisant – ’L’ESPACE SIDERAL’.
Cela étant dit, il est inutile de chercher dans notre nature intuitive l’explication de la structure du système gravitationnel autour d’une étoile en application de ce que nous savons du système gravitationnel de notre système solaire
Car tous les systèmes existant dans l’espace sidéral sont de nature à etre l’émanation de l’unicité de leur propre émulsion, et ne s’explique que par la prise en considération de cette meme unicité propre. Chaque système pris à part dans l’espace sidéral a la meme origine, mais chaque système existant n’a pas le meme temps de son émanation ni la durée qui serait l’échéance de sa propre unicité ayant une épaisseur de son propre système de la structuration des particules.
La synergie du polycentrisme n’est pas la succession des étapes de l’évaluation de l’évolution du système sidéral mais l’ajustement permanent des gravitations entre tous les corps et tous les systèmes qui assurent la non pérennité de la matière autrement que par l’épuisement de l’énergie que fournit la protomatière sans laquelle le monde matériel ne saurait exister. Et ce fait logique nous épargne des suppositions non intuitives qui ne sont que jeu de mots ou des pensées qui n’ont rien à voir avec la CONSCIENCE UNIVERSELLE.
Il en est dans la nature humaine de chercher la vérité pour mieux se connaitre étant dans l’ensemble du monde en fonction duquel est fait notre organisme, ainsi que notre CONSCIENCE – issues de la meme Logique de Création tant qu’elle demeure dans la nature de la protomatière – mère de la vie.
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LE BESOIN NE SOUS ENTEND PAS LA CONTRAINTE
MASSE – VOLUME – GRAVITATION ET
LA REPARTITION DES STRUCTURES
LE BESOIN NE SOUS ENTEND PAS LA CONTRAINTE
Chaque corps dans l’espace a eu son amorce, sa propre période de dilatation et, de ce fait, la variable de la gravitation – en fonction de l’évolution de sa masse, dans l’interaction avec d’autres corps autour de lui dans l’espace a amorcé et relativement stabilisé sa position et sa mouvance.
C’est ainsi que ‘émulsion’ de la protomatiere et du plasma biologique, venue des primes essaims qui constituent les particules de base de la matière en amorce de l’organisation des structures, était un assembage résultant des émulsions de la protomatière , se stabilisant et, pour pouvoir subsister, et attirent de nouvelles émanations de la protomatière. En ce stade de la stabilisation ordonnée dépend du gain de l’énergie qui doit constamment suppléer et au maintien des particules formées et à l’interaction de leur structuration pour rendre stable leur interaction dans la structure cohérente. Cette stabilité interne consolide leur position dans la structure des particules adéquates devenant de lus en plus complexe grace au maintien des primes unicités organisées de la matière naissante dans l’équilibre statique – grace à l’équilibre gravitationnel multilatéral, qui change au fur et à mesure que changent et se multiplient les particules distantes ayant leur propre champ gravitationnel. La mouvance évolutive change au fur et à mesure que se ramifient les particules portant en elle leur propre poids de l’unicité inconfondable ayant sa constance de l’énergie qui la nourrit .
C’est ainsi que l’on peut comprendre comment se forment les structures de la matière dépendant constamment de l’apport de l’énergie qu’est la protomatière agissant dans les structures de la matière tout au long de leur existence. C’est ainsi, aussi, que l’on peut comprendre l’amorce, le maintien et l’évolution des corps dans l’espace en général, y compris de notre Terre. le milieu naturel en fonction duquel est fait notre corps et subsiste dans la stabilité évolutive de la plus grande complexité que l’on puisse trouver et éprouver dans l’espace sidéral: les masses dans toute la verticalité des structures matérielles constamment tributaires de l’énergie affluente dans le sens du flux et du reflux de la protomatière se coordonnent avec la plus grande subtilité de la complexité gravitationnelle et quelle que soit la distance entre les corps aussi bien dans le microcosmos que dans le macrocosmos solidaires parce que cohérents.
Dans tout cela il ne faut pas perdre de vue le maintien de chaque unicité et cela dans toutes les verticalités de l’épaisseur de la matière – pour comprendre ce qu’est la vie – d’ou elle vient et comment elle se perpétue dans la continuité du temps dans l’espace que ces unicités coordonnées définissent. Elles se perpétuent dans la continuité en se ramifiant grace à l’afflux de la protomatière. Ce maintien de la cohérence des corpuscules et des corps de la matière est d’une perfection telle que nous suggère le rapport entre la longeuur du cercle et de son diamètre qu’on trouve partout dans la nature. Nota: Il n’y a pas et ne peut pas y avoir de ‘cercle parfait’ – et c’est de cette logique que vient le mouvement en général. Cela n’a rien avoir avec le ‘hasard qui vient du cahos hésiodien’.
Dans des conditions requises le ‘nouage‘ se fait entre deux ou plusieurs éléments compatibles et meme interdépendants dans la logique du besoin constant de l’énergie nécessaire au maintien de l’équilibre des particules que la gravitation de chacun d’entre eux coordonne dans toutes les structures de la matière ‘faite du vide dans le vide’ qui n’a rien a partager avec le néant, car le néant n’existe pas. Le ‘vide’ est avant tout le vide de notre connaissance des structures qu’on n’arrive pas à y discerner. Cette complexité interdépendante et constamment ajustable nous donne la prime idée de l’amorce de la vie. Ce nouage se fait la permanence et assure sa continuité dans les conditions requises jusqu’à ce qu’elles changent (comme on le verra dans la suite de cet aperçu). C’est la protomatière qui fait la vie – la matière en est une émanation éphémère. Le ‘nouage’ de la vie se fait tout au long de l’organisation de la matière ou rien ne se perd et tout se passe dans l’équilibre évolutif du plus simple au plus parfait. L’augmentation de la masse qui transmet ou émane la gravitation augmente la force de la gravitation et dans cette phase de l’évolution par sursaut fait le changement de la statique dans l’équilibre général des structures ou les modifications par ce sursaut influencent le maintien ou la multiplication de la masse biologique.
DE LA MULTIPLICITE DANS LA GRAVITATION TERRESTRE
Là ou il y a de la matière, et dès son amorce, il y a la gravitation sans laquelle il n’y aurait pas de stabilisation.
C’est l’unicité des composantes sur toute la verticalité, des primes particules de la matière jusqu’à sa stabilisation en synthèse, qui explique qui démontre pourquoi il n’y a pas de confusion – dans le sens ‘ex pluribus – unum’ – des unicités mais la stabilisation de leurs valeurs propres et de leur unicités par rapport à toute intrusion des gravitations des corps affirmés environnants. Toutes es unités sont différentes, meme dans la réitération dans la continuité du maintien à la vie des ‘grains sacrés’ à la base de l’amorce de chaque etre vivant pris à part. Cette stabilité est due à la gravitation propre de chaque unicité faisant partie de l’essaim qui se stabilise comme – particule à la base des structures matérielles dès le début de la verticalité des structures matérielles organisées.
C’est la notion de base dans l’effort de comprendre la multiplicité des gravitations entre toutes les composantes de la matière sur toutes les verticalités que connait la structure de l’ensemble des éléments qui s’en suivent du moins dans le système solaire que l’on commence à connaitre dans leur habitat naturel. L’origine commune et la proche ‘parenté’ des masses dont sont faites les planètes du système solaire qui effectuent leur rotation autour du Soleil sinon sur la meme trajectoire, du moins dans le meme sens. Il s’agit là de la coordination des gravitations de tous ces corps qui font partie du Système solaire – la gravitation dominante – celle du Soleil ordonne les gravitation de planètes, planétoides, etc., quelle qu’en soit leur distance. Il s’agit là de la primauté de la gravitation sur la masse et le poids des composantes du Système solaire – chacun pris à part, mais toutes coordonnée selon la logique du poids propre (qui détermine aussi la vitesse de leur propre rotation), de la force de gravitation et de la distance par rapport à la gravitation solaire dominante, constante mais pas immuable.
En bref: La verticalité des composantes de la Terre est une telle complexité propre et graduelle que, pour la comprendre, il ne suffit pas d’en dresser un schema, mais d’essayer de comprendre le maintien de la stabilité de chacune de ces gravitations graduellement disposées – en déduisant les unes des autres – pas en tant que subdivisions, mais en se surélevant graduellement dans la cohérence des structures qui résulte des structures précédentes dans chaque verticalité.
L’équilibre des gravitations , en fonction de la masse des composantes structurées est stable au point de se demander quel sens téléologique leur accorder. La gravitation comprend le maintien de la stabilité de chaque composant dans e sens du flux et de reflux de l’état de la protomatière omniprésente, mais en fonction du maintien de la distance en ce qui concerne les rapports face à d’autres corpuscules avec lesquels, compte tenu des influences intérieures et extérieures constituent l’unicité du système gravitationnel dans un ensemble solidaire, voire cohérent.
Il se trouve, enfin que le maintien des gravitations entre toutes les unicités dès leur origine, représente l’interaction qui est à la base d’un corps lui-meme. Et cette permanence de la multiplicité graduelle des composantes de la masse d’un corps de la matière fait que la stabilité de chaque composante est à la base de la cohérence vivante de son ensemble.
Se pose aussi la question suivante: Le maintien du système gravitationnel ressemble-t-il au maintien du système gravitationnel au sein du prime ‘essaim’ constituant une particule dans la masse des primes structures de la matière? Et – que deviennent , dans l’apport de l’interaction des systèmes innés, les segments précédant la formation des primes particules amorçant la structuration des atomes meme le plus rudimentaires? A comprendre cette ré-évolution entre potentialité et les primes particules de la matière, on pourrait concevoir des structuration de la masse sur d’autres corps célestes (dépendant ou indépendant du système solaire.
N’y aurait-il pas une logique du réajustement de ces structures en fonction de leur masse, poids et gravitation qui les affirme? Est-ce que ce réajustement permanent ou circonstantiel pourrait avoir des ‘sursauts’ dont l’autarcie circonstantielle serait à l’origine de l’amorce d’une vie qui continue ses propres règles du maintien de la cohérence qui, en fonction du nouveau cadre environnemental bénéficierait du pouvoir de subdivision, du clonage ou autre manière d’assurer sa permanence dans la non pérénnité Cette question mérite des approches scientifiques poussées. Cela se passe-t-il à la lisière des rapports entre l’immuable protomatière et la matiére qui suit la Logique de création selon ses propres régles de comportement? Les structures fort complèxes de la matière, tributaire d’un abondant soutien de la protomatière serait – dans ce cas là – un amalgame de la permanence de la protomatière et des changements éphémères de la complexité dans le maintien en cohérence des multiples forces gravitationnelles de la matière biologique?
LA TERRE, ELLE AUSSI POURSUIT
SON MAINTIEN DE L’EQUILIBRE EVOLUTIF
Sont nombreuses et bien différentes les théories de l’origine de la Terre. L’une d’entre ses théories, en accord avec le sens logique et la signification propre latine dit: ‘Terra est stella.’ C’était peut etre à ses débuts, mais comme cette petite étoile n’a jamais cessé d’évoluer en elle meme et dans le système solaire, – poussée de l’intérieur par l’amorce de l’action gravitationnelle au fur et à mesure que sa masse et son volume ne cessaient d’augmenter, la loi incontournable de l’omniprésence de la protomatière a fait que toutes les conditions requises dans la formation et évolution de la matière étaient suivies et maintenues dans l’équilibre évolutif dans toutes les structures du maintien dans la cohérence positivisante de la matière amorcée sur toute la verticalité conséquante de l’évolutin de la Terre – du plus simple au plus complexe, en changeant le volume et le poids de la masse.
C’est ainsi que l’on est censé comprendre en imaginant cette double action durant la formatation du Globe Terrestre – constituant ainsi par l’émulsion à la base de l’énergie, toujours en arrivage suffisant de la protomatière et à la surfac par la dislocation lente mais constante de la croute terrestre de plus en plus grande et de lus en plus solide – en se désolidarisant. Surtout depuis l’émanation de la masse terrestre de l’atmosphère constiuée de gaz différents dont l’oxygène et l’hydrogène entourant la croute terrestre. Là aussi, la gravitation a fait son effet dans la dissociation des éléments plus lourds de cette couche entourant le sol ferme de la terre et en suivant l’ensemble des processus de l’ordre gravitationnel – en faisant de sorte que la masse tempérée remontait plus haut et, en s’y refroidissant retombait plus bas pour inonder le sol qui de ce fait devenant de plus en plus frais. Or, ce processus du jeu du chaud et du froid occasionnait la polarisation entre les couches de l’atmosphère terrestre qui appelaient la protomatière à niveler les différences. Sous l’aspect des foudres durant les orages. Sous forme de l’aurore boréale etc.
Ce comportement des gaz divers de l’atmosphère terrestre a, peu à peu, déposé à la surface de la croute terrestre refroidie cette parti de l’atmosphère composée des gaz solidaires – de l’hydrogène et de l’oxygène et cela en fonction de l’effet du refroidissement de la croute terrestre – pour former les cours d’eau, les étendues limitées de l’eau, les mers et les océans.
Il en va de soi que l’atmosphère n’influençait en rien l’émulsion permanente de la protomatière dans le coeur de la Terre qui continuait son évolution en se dilatant. On peut imaginer une pate à pain au levain qui – en cuisant enfle et en augmentant son volume force sa croute à se dilater, de craquer et à montrer à la surface que le pain cuit est devenu plus volumineux qu’il ne l’était avant la cuisson. Or, la Terre ‘suit’ depuis son centre, l’atmosphère modère cette ‘cuisson’ et le volume de la terre continue de se faire plus grand, comme le témoignent ces ‘scillons’ suivant l’écart entre les parties de la terre ferme et au fond des oceans et des mers. Les volcans continuent de ‘vomir’ la lave qui vient des profondeurs en attestant que l’augmentation du volume de la Terre continue de se faire tout naturellement. Or, quand on dit l’augmentation du volume sous-entendant par là l’augmentation du poids et les deux prouvent l’augmentation de a force de la gravitation terrestre. Comme tous les autres corps dans le système solaire poursuivent leur évolution à l’instar de la terre, la synergie gravitationnelle influence la synergie des gravitations des structures dans toute la verticalité allant depuis le point NUNC entre l’infiniment petit et l’infiniment grand.
La poussée de l’intérieur de la Terre agissant par d’innombrables ‘soupapes’ que sont les volcans et autres émanation de la matière chaude, jouent aussi le role de soulevement des plaques terrestres ce qui crée constammanet l’évolution dans l’interaction gravitationnelle modifiant plus au moins le milieu naturel du maintien en vie de la bio-masse.
Etant donné que dès son amorce la matière subsiste grace à sa structuration – attrait/reflux de la ‘protomatière mére et nourrice’ ne cesse pas de faire évoluer les structures nouvelles plus complexes et solidaires de la masse meme lorsque cette masse, à la surface de la Terre se disloquent en trois couches bien spécifiques: terre ferme, l’eau et l’atmosphère. Quelque soit la complexité de la matière en évolution, elle ne cesse jamais d’etre cohérente dans la verticalité se dissociant en strates tout au long de la verticalité.
LE COMPORTEMENT COMPLEXE DE LA GRAVITATION ET DE LA BIOMASSE
Etant donné que la continuité des unicités restent le premier élément à la base de la subsistance dans la mouvance – la vie – s’amorce dans la conjonction de l’équilibre de ces trois éléments de la masse terrestre. On peut se demander – est-il possible que le maintien de la verticalité de chacun de ces éléments se stabilise au contact des verticalités des autres éléments issus naturellement de la meme masse terrestre devenus plus importante grace à l’omniprésence de la protomatière lorsque la gravitation augmente sensiblement?!
La convivialité des structures des trois éléments sus-mentionnés de la croute terrestre, maintenue en vie par l’influx de la protomatière agissante dans le centre du Globe Terrestre a fait – probablement – le plasma organique qui a généré les etres vivants dans la spécificité de l’évolution du milieu naturel de l’équilibre du milieu naturel de l’équilibre évolutif dans la stabilité durable.
Or, comme la Terre ne cesse de changer de masse en augmentant son volume, grace à la poussée de la protomatière du centre, il est légitime de supposer la continuité des changements évolutifs aussi sur la surface de la croute terrestre. Et c’est là que se pose une nouvelle question: n’est-ce pas dans la multiplicité et la complexité des gravitations abouties dans la synergie des forces changentes qu’est apparue la vie dont la complexité – suivant l’évolution de l’ambiance naturelle – certains organismes n’ont pas survécu, d’autres ont connus l’amorce suivant la logique de la création qui engendre la matière et fait sortir la vie de la matière changeante. Selon les conceptions de la Logique de la Création la protomatière se ramifie dans la très grande complexité de la matière évoluée au point ou s’amorce un certain automatisme devenu organisme vivant qui peut subsister et se reproduire selon la logique de ce meme automatisme inné conditionné par la complexité ambiante en tant qu’ etre à part qui subsistera tant que ces conditions génitrices le soutiendront.
Dans ce meme ordre des choses et étant donné que la Terre continue sa propre maturation, le changement de la ‘matrice ambiante’ de chaque espèce agit sur la capacité des etres de poursuivre leur renouvellement spécifique dans les conditions requises de l’environnement. Lorsque le changement dans l’évolution de la Croute Terrestre s’effectue plus ou moins rapidement mais radicalement – comme le déplacement des pans de la Croute Terrestre des plaques tectoniques, une subite recrudescence des activités volcaniques, étalement frequents et abondants des ‘tsunamis’ et turbulences atmosphériques conjointement aux activités volcaniques ou autres – les etres vivants n’étant plus servi par l’environnement favorable – ni se reproduire ni assurer leur continuité en se reproduisant ‘retournent’ dans l’état préexistant, se fondent avec la nature ambiante et y restent immobilisés sous forme de fossiles s’ils ne sont pas consommés par d’autres etres vivants.
Exemple probant: selon la règle de base de la force de gravitation, en fonction de la masse et des influences extérieures et étant donné que la terre continue son évolution en se dilatant et en augmentant son propre poids, on se demande si en meme temps augmente sa propre force de gravitation au point à influencer la modification de sa trajectoire et dans quelle mesure cela se répercute sur le comportement des corps de l’ensemble du système solaire. De meme – est-ce que ces changements peuvent influencer l’évolution de la biomasse et sa dépendance d’un changement sensible de la gravitation de la Terre?
Si tel est le cas , alors il devient plus facile de comprendre les effets de ces faits nouveaux sur la terre ferme, dans l’eau et dans l’atmosphère. De meme l’interdépendance des espèces ou apparaissent et disparaissent certains etres qui évoluaient auparavant comme aliment de base des prédateurs ou des parasites. Meme si l’extinction ne touche que certaines espèces – les espèces qui en dépendaient peuvent disparaitre à défaut de pouvoir se nourrir ou parce que de nouvelles espèces qui apparaissent suite à des changements élémentaires sur la Terre en trouvant de quoi subsister en tant que prédateurs s’imposent et rompent l’équilibre biologique dans les trois éléments de la nature ambiante.
Théoriquement il est possible de procéder aux analyses des couches terrestres avant, par exemple, l’apparition des gros reptiles, durant leur existence et après leur extinction pour établir scientifiquement dans quelle mesure l’évolution de la Croute Terrestre en changeant de volume changeait de poids et de ce fait de la gravitation. Car, si le changement de gravitation s’est produit rapidement, les gros spécimens du genre ‘saurien’ ont du en patir. Tributaire de la pature éloignée, ils ne pouvaient plus se déplacer. Il suffit que l’une des lignées de prédateurs ou de parasites s’éteigne pour que toutes les espèces interdépendantes disparaissent. La durée de l’extinction des sauriens pourrait éventuellement nous donner des renseignements sur la période de l’augmentation de la gravitation terrestre durant cette phase.
Cela nous amenerait à oublier les histoires épouvantables de la chute catastrophique des corps célestes ou d’une ‘intervention des extra-terrestres’.
De ce que nous savons de l’histoire de la Terre on peut en tirer l’ enseignement – s’adapter ou disparaitre. L’écrivain russe, F.M. Dostoievsky a constaté dans les pires conditions de sa vie dans le pénitencier en Sibérie: ‘L’homme est l’ etre qui s’adapte à tout’. Plus que la constatation – c’est tout un programme pour l’humanité.
Ce monde, parfaitement conçu et mal compris, n’est pas venu du chaos et ne finira certainement pas dans le chaos…
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CE QUI N’EST PAS LOGIQUE EST – CONTRE NATURE
LE CYCLE DE LA LUMIERE NOIRE DE L’AMORCE A L’ABOUTISSEMENT
La protomatière, amorcée dans les primes structures de la matière passe de l’état immuable dans l’état définissable en application des coordonnées espace/temps et de l’unicité de chaque élément de base s’associe a d’autres émanations compatibles pour former des structures des éléments que nous connaissons depuis peu de temps.
Depuis que l’homme essaie de comprendre le monde en fonction duquel est fait son organisme, la lumière était l’émanation qui se manifestait a la surface de la terre, depuis le sous-sol terrestre et dans les aires, et surtout dans l’espace. En plus de la manifestation propres a toutes ces lumières – les corps célestes et la foudre, entre autres, n’ont été qu’admirées ou craintes, mais le conscient de l’homme a amorce sa compréhension de tout ce qui est lumière et luminosité qu’a partir de la compréhension en quoi consistait la différence de la lumière froide et chaude, et surtout de la foudre – lumière froide qui brûle et amorce la combustion.
Ces impressions et ensuite la compréhension des lumières ont été, sans doute, le début de la dissociation des notions de: certain, improbable, possible et pragmatique. On ne peut que spéculer sur la longueur du temps ou l’homme observait, sentait et adoptait son environnement dans l’abri naturel ou il a appris que le feu qui éclaire et le feu qui chauffe pouvaient le protéger du péril et même servir pour se chauffer et apprêter sa nourriture de cueilleur et de chasseur. C’est sans doute dans cette première ambiance de l’homme sédentarisé que la civilisation a pris son amorce jusqu’à être habile – de dessiner su les parois les scènes du bien et du mal pour vivre constamment dans l’adoration du danger représente par lui même.
Il est difficile de deviner en spéculant sur nombre de manière des premiers hommes de se maintenir en vie sans connaitre la certitude aussi bien dans le sens utile et positif que dans le sens périlleux et imprévisible. Cette approche de la nature environnante et l’interrogation qui cherche l’accord entre les manifestations de la nature et la compréhension de son effet sur la vie et la survie de l’homme et de sa smala, a peu évolue jusqu’à notre temps ou on a a peine entamé la notion de la non opposition entre le réel et le virtuel. Autant les interrogations sur la nature environnante étaient source de l’angoisse de nos ancêtres, autant de nos jours reste un flou et pensée incertaine de notre interrogation sur l’amorce et l’aboutissement de la matière dont le monde est fait, dont nous sommes faits.
Il n’y a, du reste, pas longtemps ou on a appris a comprendre intuitivement ce que l’opticite’ ne nous permettait pas – l’amorce de la lumière et la découverte de la force qu’elle émane (de l’électricité et du magnétisme). Disons que pur tout prendre, tout le reste qu’on a compris dans le domaine infinitésimal, microscopique et telescopique ne serait point faisable sans la compréhension du comportement de l’infiniment petit ou s’amorce la lumière et par la toutes les structures de la matière visible, palpable et observable grâce aux ustensiles appropries a notre pouvoir naturel de l’opticite’. Autre question nous met en garde face a d’innombrables illusions optiques.
Ayant compris les structures de la matière depuis l’amorce jusqu’à l’aboutissement, on na pas épuisé notre pouvoir intuitif qui va très au delà de l’opticite’. La découverte que même dans notre espace sidéral la matière ne représente qu’un relativement faible pourcentage de l’espace, on ne cesse de s’interroger sur – la structure du vide – dont la matière même est faite pour l’essentiel.
Or, comme la matière s’amorce depuis l’infiniment petit et se construit avec les primes particules dans toute la complexité jusqu’à en arriver au stade de l’épuisement, voir du retour a l’état dont toutes ses structures tirent leur origine – on a compris qu’il y a lieu de faire la différence entre la matière et la proto-matière dont la matière tire son origine, en faisant dans la pleine complexité son ‘épaisseur’, pour retourner a cet état de son origine qu’on a du mal a nommer autrement que – la proto-matière.
REINVERSION DE LA LUMIERE
Est tout aussi légitime de rester dans la même logique en se demandant – si la matière se manifeste dans sa prime structure comme une lumière qui vient de ‘l’espace noir’, une fois que les primes particules avec leur unicité absolue, arrivent a passer toute l’épaisseur de la matière pour ne plus être la continuation de l’émanation de la lumière, mais son inversion – en quoi consiste le retour de la proto-matière dans son état d’origine – non mesurable en application des coordonnées espace/temps – qu’en est-il de cette anti-diffusion et comment être sur qu’elle a bel et bien lieu y compris dans notre opticite’?
On est la dans l’amorce du chapitre de découverte intuitive de la LUMIERE NOIRE. D’aucuns essaient de spéculer en disant que la nuit l’immensité de l’espace sidéral nous offre une vision très pauvre de la matière lumineuse dans la totalité de la lumière noire a défaut de la ‘matière noire’ (a quoi d’aucuns donnent nombre de supposées propriétés et autant d’appellation.
DISONS: La lumière noire est la proto-matière qui a traverse toute l’épaisseur de la matière, libérée des primes structures de la matérialisation ‘par aspiration, combustion et libération’ pour se retrouver dans leur état originel de la proto-matière mais en retournant a l’état d’origine dans un parfait ordre de déstructuration là aussi par le procède inverse de l’aspiration .
Pour pouvoir admettre cet échange de l’énergie entre deux éléments (ici et, ne serait-ce que pour le moment) un troisième, etc. éléments non seulement ne s’imposent pas, mais du moins dans cet échange il n’y a point de nécessite logique pour en supposer une existence quelconque.
Des l’amorce des primes structures de la matière, disons le encore une fois, jusqu’à la traverser de toutes les structures de l’épaisseur de la matière, c’est la fréquence des primes grains de la matière, la lumière donne l’impression a notre opticite’ que la matière est blanche. Or, la quasi totalité du monde environnant est blanc lorsque le Soleil nous éclaire et noire la nuit durant. C’est la source de la lumière qui émane la ‘matière blanche’ qui vient de la focalisation de la proto-matière par émanation plus au moins profusionnelle de tout ce qui est le ciel étoile grâce a la propagation par la proto-matière qui s’avère être le plus parfait conducteur de la lumière et autres fréquences que nous connaissons ou supposons être.
La se pose une question et non mineure: que devient l’énergie sortant libérée des structures de la matière? Elle est certainement invisible car elle n’a plus la charge de l’énergie émanante mais poursuit sa manifestation sans doute a l’oppose des fréquences interstellaires dans toute la splendeur des fréquences apparantées a la lumière primaire.
On pourrait dans ces rapports de l’inversion qualifier la LUMIERE NOIRE de l’anti-lumière qui, pour se libérer totalement de toutes les structures et leurs émanations de la matière, coordonner leur RETRECISSEMENT QUANTIQUE de manière a ne plus être tributaire des structures matérielles. Et comme la lumière émane des sources des lumières (étoiles etc), la lumière noire, dans l’opposition de la logue de l’émanation, allant de l’infiniment grand parsemée des particules de la matières, vers l’effacement de l’espace et en réduisant le temps a l’effacement – se regroupe dans des zones de l’espace sidéral ou est l’activité de la lumière ‘blanche’ la plus forte en circ-concentration et se met a graviter vers ce qu’on appelle – LE TROU NOIR.
Les ‘trous noirs’ ne mangent pas les particules de la matière, elles reçoivent l’énergie qui a traverse toutes les structures de la matière et les libère de l’aspiration de la matière pour qu’elles se retrouvent dans leur ELEMENT D’ORIGINE – l’inconcevable, mais logique! unicité de l’infiniment petit et de l’infiniment grand.
NOTA: Pour d’aucuns (et cela depuis Roger Boskovic) ces deux éléments (matière et protomatière) seraient les structures majeures des ‘mondes parallèlles’.
On ne s’en tient qu’a ce qui est logique – intuitivement concevable et probables et on laisse a d’autre la spéculation avec les notions ésotériques.
Âme et conscience
‘Science sans conscience
ce n’est que la ruine de l’ame.
François Rabelais.
Dans son discours inaugural à l’Académie française (le 11 juin 1998), que Jean-François Revel a affirmé: “C’est en vain aussi que l’on tenterait d’extraire du savoir devenu démontrable une morale ou un art de vivre. La sagesse ne repose sur aucune certitude scientifique et la certitude scientifique ne conduit à aucune sagesse. L’une et l’autre doivent coexister, à jamais indispensables, à jamais séparées, à jamais complémentaires.”
La sagesse en effet est une notion aussi variable que la science. Je dirais meme que cette variabilité est à la base des idées qui ne sont des notions de la réalité. Si le virtuel est dans la non opposition par rapport au réel, on ne parle plus de la ‘sagesse’ mais de certitude.
L’omniprésence de la matière, devenue le point de départ de notre approche analytique de nous meme en fonction de l’univers ambiant en fonction duquel est crée notre organisme, nous situe dans un ensemble en dehors duquel la logique ne peut que faire des suppositions.
La pensée logique se fait dans la synthèse de notre orientation entre deux éléments des données – ceux que notre organisme capte grace aux sensors de nos instincts qui rendent possible le maintien de notre organisme en vie dans l’ambiance naturelle en fonction de la quelle notre organisme est fait (comme l’organisme de n’importe quel leespèce de la flore et de la faune) – et de la conscience donnée uniquement aux etres humains qu’ils en soient conscients ou non. Sans la conscience, d’ou nous vient l’intuition, on ne serait pas en mesure de comprendre les données reçues dans les divers centres du système cérébro-spinal sauf pour réagir grace à l’automatisme de notre héritage génétique. Dans le conscient humain l’instinct et l’intuition font l’intégrité de la personne humaine qui nous donne l’aptitude de changer notre univers ambiant, l’adapter à nos besoins ou nos souhaits et de ce fait nous surélever dans la connaissance bien au delà de nos sentiments naturels instinctifs.
Les coordonnées pour cette synthèse entre l’instinctif et sa prise de conscience intuitive c’est grace à la mémoire qui retient tout ce qui est censé etre vérité. La synthèse des unicités agréées dans la mémoire, fait que l’esthétique de la mémoire, fait que la vérité (la non opposition entre le virtuel et le réel) est belle (agréable et rassurante). Les faits nouveaux rapportés par nos sens et évalués par notre intuition sont ‘classés’ dans notre mémoire selon leurs propriétés innées: la logique, l’éthique et l’esthétique – cette trilogique qui rend possible la cohérence de tout ce qui est mémorisé – et lui donne la permanence grace au relationnement dans la spontanéité du jugement lequel, en correspondance du vécu conscient et la memoire maintenue dans l’impact du réel et du virtuel, personnalise l’ame individuelle dont le centre de tous les relationnements est la conscience inchangeable et immuable.
Se tient à l’écart de la cohérence dans l’ame tout ce qui est cahotique et aléatoire (fausses impressions et idées n’ayant point d’impact avec la mémoire), comme tout ce qui fait la mythomanie (réfractaire par rapport à l’intuition); c’ est difficile à mémoriser durablement sauf la contrainte qui est comparable à la ‘pavlovisation’ des animaux, et ne nous aide pas à reconnaitre dans les faits nouveaux des références avec la memoire qui accepte ou non ce qui n’est pas constant ou fiable.
La différence essentielle entre la perception de la réalité et la mémoire, entre l’homme et l’animal, est – le role que joue la conscience (la meme donnée à chaque etre humain, qu’il en soit conscienet ou non) dans l’ame de tout etre humain entier – et tous les autres etres de la faune et de la flore . Cela étant dit, il y a une différence fondamentale entre la mémoire de l’homme entier et la mémorisation chez les autres etres vivants – la mémoire humaine dominée par la conscience est durable tandis que la mémoire des autres etres vivants est circonstancielle et non transmissible entre espèces. On peut dire que la mémoire cohérente et durable de l’homme constitue ce qu’on appelle – l’ame humaine.
Une fois inserrée et fixée dans l’ame strictement individuelle, la mémoire domaine de l’ame, reste la permanence qui agira sur notre conscient que l’on soit consciencieux ou non. Et comme tout ce qui est durable vient de la vérité et l’impression du beau, acceptable par l’ame humaine, entretient la paix dans l’ame donnant la stabilité du conscient. Ce qui n’est pas accepté par le bon sens conscient – l’incertain ou délibérément faux, devient la source du tourment et du sentiment de culpabilité, ce qui grève la stabilité mentale de l’individu et les relations entre individus au sein de la société humaine. Le faux, qu’il soit inhibé ou délibérément retenu dans le conscient (et non dans la mémoire durable), constituant le tourment dans le comportement de l’individu rendu imparfait, ne peut etre effacé que par un procédé de rectification par les certitudes ou rectifié par un effort intuitif qui amène la sortie du tourment du faux, grace à la conversion possible.
Dans ce qu’on appelle ‘le péché’ il y a naiveté mais aussi l’endoctrination des groupes ou le faux est imposé comme obligation avec l’interdiction d’en douter. Quel que soit l’origine ou le procédé d’ endoctrinement par le faux qui, devenu obligatoire, aliéne le conscient humain et le rend difficilement récupérable, sinon incapable de l’ouverture de la conscience et de sin impact dans la memoire qui passe par le conscient ou l’individu se ‘prete’ à la secte par un contrat quelconque. C’est par cette brèche de programmation du conscient humain que se fait l’amorce et le foisonnement des sectes religieuses et des organisations idéologiques et mouvements politiques. A part l’endoctrinement par obligation d’accepter et de vivre selon le faux et à l’encontre de la conscience non ouverte, il y a aussi le procédé de l’effacement de tout crédit à ce que les gens doctes ou (ir)responsbles propagent. Il s’agit du pire des fléaux qu’est l’anarchie. Seuls les manipulateurs chevronnés agissent sur la masse des incultes par des procédés comparables au chamanisme. Du reste, c’est de la civilisation des chamans que tire son origine l’anarchie.
Les procédés de programmation des etres humains sans connotation de leur conscience sont, en premier lieu – dénigrer et couvrir de culpabilité tout ce qui est logique en rendant obligatoire l’acceptation de la croyance sans certitude.
Ces procédés ‘en dépit du bon sens’ sont toujours dirigés contre la nature humaine, déshumanisants. La rééducation des individus est parfois menée avec succès, mais tout acharnement pour rééduquer la masse des fanatiques crée un cohésion entre eux en leur imposant la sociabilité comme obligation, mais jamais sentir par eux comme un procédé de l’humanisation.
AME QUI RESUME ET DONNE LE SENS A TOUTE LA VIE HUMAINE.
Rien ne peut remplacer l’éveil de la conscience dans l’ame des etres humains, rien ne peut remplacer la cohérence naturelle de la famille humaine et l’éducation qui se fait dans la parfaite réciprocité entre individus ayant la meme dignité et les meme droits. Il n’y a ni confusion ni retour vers l’origine du corps – tout vient de la verticalisation des unicités et tout a le meme destin dans la nature des choses – aboutir de l’autre coté de l’épaisseur de la matière – dans l’unicité donnant un sens à la vie.
Les diverses activités humaines peuvent etre éduquées et effectuées dans la nature des relations non dommageables, en sachant que: Il y a le comportement ou l’individu doit etre seul et isolé de la société; il y a des activités qui se font à deux et à l’écart de la société et, il y a grand nombre d’ activités et de comportement humain qui se font par groupe organisés, entre proches et adeptes des rencontres et cérémonies, de meme que ceux qui se font publiquement ou chacun suit son idée selon besoin et l’intention. En observant ces comportements on est préservé des appréhensions, conflit, culpabilité et autres incidents criminels.
Il n’y a pas et ne devraient avoir de ‘péchés’ seulement et uniquement quand on est contraint de lutter pour la survie. Dans ce cas unique – tout est permis.
La ‘vie eternelle’ est une notion qui donne sens à la synthèse de l’intégrité se résumant dans la personnalisation de la place et du role que joue la protomatière en état pur, indépendante du maintien du corps en vie et résumant l’ame humaine, maintenu par la conscience dans la cohérence de tous les faits vécus au niveau du conscient. La protomatière ainsi ‘personnalisée’, de par le fait qu’elle est faite de la protomatière, aboutit dans l’état originel de l’autre coté de l’épaisseur de la matière. L’ame humaine rentre dans l’état originel indivisible dans son unicité. Il est difficile de comprendre et encore moins d’expliquer ce processus de ‘purification’ des séquelles du corps après son retour à la matière dont il s’est séparé. Il est vraisemblable que la mémoire perd tout ce qui n’entre dans la cohérence de l’intuition.
LE VIDE N’EST PAS LE NEANT…
La parfaite et infaillible intelligence qui amorce, développe et épanouit la vie dans la verticalisation des unicités de la protomatière est une évidence constatée sous un microscope électronique en observant le processus qui s’opère dans un oeuf fécondé de volatile. Ce condensé d’un ‘oeuf de paques’ est une illustration de ce que en théologie on entend sous l’appellation du ‘dogme de la Sainte Trinité’, et qui sous entend l’unité non divisible de l’intelligence créatrice (du ‘père), de la protomatière (de l’Esprit Saint) et de la matière ainsi nouée (fils). La matière est censée passer par la déstructuration (la mort) et de ce fait se réaliser dans l’unicité de l’univers ou la logique de la Création serait purifiée de tout éphéméride sans structure concevable en application des coordonnées espace/temps.
C’est ainsi que l’unicité absolue devient indivisible et indissociable – notion qui accomplit la synthèse du temps et de l’espace. Finalisation essentiellement différente de la ‘dilatation de l’univers’ qui finirait par se rétrécir jusqu’au point zero, comme l’imaginent les auteurs la théorie du ‘Big-Bang. NOTA: l’histoire ne dit pas ce qu’il en était de la matière avant le Big-Bang, ni ce qu’elle deviendrait en se résumant au point zero. A l’espace zero conviendrait le temps zero, mais – ou sont passées ‘la matière grise et la matière noire’ – on n’en parle pas (encore?).
Par le Projet parfait du Concepteur de la protomatière – étant donnée la logique de la Création – se synthétise dans la vie faite de l’immortalité de la protomatière vivifiée par l’inteligence parfait qui amorce et génère les structures de la matière (le corps) et se régénère après etre passée par la très complexe évolution qui reprend son état originel de protomatière gardant la mémoire des structures issue de la logique de la Création qui ne connait pas de l’oubli car la protomatière passée par la vie devient définitivement indivisible et accomplie dans la synthèse qui met fin à toute durée du temps dans l’espace zéro.
Là, notion de l’éternité rejoint l’illusion de l’imagination humaine concernant – le néant.
La notion de la protomatière devient le synonime du vide. Le vide peut etre propre à notre raisonnement.
C’est dans le vide que l’infiniment petit et l’infiniment grand sont – un et unique.
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LA PERFECTION INFLUENCANT L’IMPARFAIT
Les structures matériels dont est fait le cerveau humain ne peuvent pas
lui donner ce qu’elles ne possèdent pas – la conscience immuable.
Le sens ultime de l’unicité dans la verticalité des structures, à commencer de la prime particule émanant de la protomatière exclut à priori toute alternative ou ‘copie conforme’ de cette émanation. L’UN est constitué d’une possibilité incalculable des Uns.
A la lisière entre la protomatière et la matière naissante se forment les ‘essaims’ dans l’interaction de la double gravitation qui rend possible et stable les primes structures des structures en formation – censées compléter le milieu en perpetuelle verticalisation de l’épaisseur de la matière.
On peut se poser la question, par exemple, comment s’est formée le tout premier ‘essaim’ parfaitement incomplet pour se perpétuer dans le dédoublement ou, comme dans tout stade de la formation des unicités dans la verticalité, et de ce fait etre différente de l’unicité de la ‘matière morte’ qui assure sa stabilité par sa matérialité grace à la gravitation.
La différence entre unicités structurées et maintenues évolutivement stables par la gravitation, les structures parfaitement imparfaites (organiques) pour assurer la permanence se multiplient en se dédoublant voire redoublant (le ‘double’ n’est pas la ‘copie conforme‘ de ‘l’unicité mère‘) dans l’identité imparfaite, comme est imparfait le cercle qui en est la logique intrinsèque: ce sens de dédoublement imparfait a chaque unicité nouvelle a une ‘personnalité’ dont la structure se fait à la base de la part de la protomatière exempte de gravitation, c’est à dire faisant chaine cohérente dans l’alignement de l’unicité de chaque formation ‘imparfaite’ prise à part (ce qui fait ‘grandir’ le spécimen).
A l’instar de l’imperfection qui se dédouble grace à la permanence de la protomatière faisant liein entre chaque unicité, on peut se demander si les tout premiers ‘etres vivants’ ont eu cette amorce et l’essor que nous interpretons comme – message génétique propre à chaque espèce de la flore et de la faune. A cela s’ajoute une ‘question rhetorique’: est-ce de cette anomalie de la ‘crèation imparfaite‘ (germe de la vie d’une série du dédoublement de la structure maintenue en cohérence par la présence de la protomatière qui ne remplace pas la gravitation, mais rend possible et assure la permanence de cette unicité imparfaite qui se dédouble pour assurer la permanence de sa structure presque éphémère qu’on appelle – ‘espèce vivante‘. NOTA Cela peut expliquer aussi la rapidité de l’évolution des structures des espèces par rapport à la permanence de l’unicité de la ‘matière dite morte’.
LE PROBLEME LE PLUS DIFFICILE A CERNER est l’effort de la pensée humaine dans la non opposition entre réel et virtuel (opticité et notion) de comprendre l’essor des unicités dans la verticalisation des ‘unicités des essaims‘ les plus divers en prenant en considération leur unicité qui vient de la toute première émanation de la particule mère imparfaite (tendant vers ‘l’équilibre évolutif’ ) qui génère les particules de l’unicité suivantes etc. sans alterner les ‘essaims’ contenus et maintenu en mouvement pour assurer la cohérence – par le double jeu de la gravitation, sans laquelle les formes ne pourraient pas etre dans leur stabilité évolutive.
Rien que pour comprendre en application du principe de l’unicité dans la verticalisation jusqu’au niveau de l’atome du platine dans la stabilité de monocristal du platine, il faudrait armer un ordinateur puissant. Mais – à condition de résoudre au préalable – dans quelle logique programmer ce calcul quasiment indéfinissable, car toutes les unicités changent constamment afin de rendre possible l’équilibre évolutif de cette masse quasiment indénombrable et à chaque stade de l’unicité – changeante dans la nature de rendre possible le processus qui rend possible la compréhension de l’épaisseur de la matière.
Cela étant dit: le haut sens de l’unicité dans l’équilibre évolutif, ne justifie pas l’idée de dérivé de la vérticalisation des unicitée à tous les stades de l’épanouissement d’un bout à l’autre de l’épaisseur de la matière – encore moins de la vivante que de la morte. Pour chaque origine afin de concevoir son essor – il est indispensable d’en concevoir l’origine de la phase ‘zero’ de la matière structurée – c’est à dire à partir de la protomatière qui en aucun cas n’est mesurable en application du principe de base valable pour la matière – espace et temps – qui ne vaut que pour l’ensemble des structures de la protomatière amorcée et devenue permanence pour chaque unicité prise à part. On s’y perd si l’on ne progresse que l’unicité après l’unicité mère.
Donc, tous les organismes de la ‘matière vivante‘ ont lit leur essor dans une amorce propre qui, de par son imperfection – maintenus par la présence permanente de la protomatière – ont et leur amorce i leur verticalitsation que l’imperfection de cohérence ou la gravitation est supplée par la présence de la protomatière rend possible la compréhension leur tendance à se répéter et à chaque fois dans une structure de primes particules adoptée par le facteur de la présence de la protomatière – à un ensembles des essaims de la matière environnante (morte ou vivante pour se surelever grace au ‘projet’ incitial que nous appelons le ‘code génétique’. BREF: Toute espèce est amorcée à partir de l’unicité de son propre programme du système de verticalisation.
LE CONSTANT DANS L’INCONSTANT
LE CERVEAU:
Tout etre vivant se maintient dans la vie grace à un organe qui lui permet de s’orienter dans son environnement naturel en fonction de la spécificité de son organisme doué de possibilité d’assurer sa permanence en transmettant son héritage génétique de multiples façons. Toutes les structures d’un organisme sont coordonnées à un certain niveau, chez les membres de la faune ce centre de coordination des fonctions physiques est – le cerveau ou quelque chose de comparable au système sensoriel fonctionnel.
Les professionnels de l’anatomie des etres faisant partie de la faune savent comment fonctionne le cerveau d’un etre qui en possède un comme aboutissement de tout le système nerveux – mais pour ce qui est de l’etre humain – subsiste une grande question – comment se fait-il que le conscient humain – comme chez les primates par exemple – est, en plus du centre auquel les sens apportent sans cesse des informations instinctives soient doué d’un pouvoir immuable qui interprète et juge toutes ces informations instinctives avec un haut sens de l’exactude, en les situant dans la vérité. Plus encore – comment se fait-il que la conscience non seulement ne dépend point des informations instinctives, mais dans sa permanence immuable elle les juge avec précision et en cohérence? Plus encore: comment se fait-il que chaque etre et non seulement de la faune aie ses instincts très individualisés alors que la conscience – donnée équitablement à chaque etre humain soit strictement la meme chez tous les hommes?
En reprenant cette question de l’unicité de chaque etre vivant et le caractère trés personnel des sensations instinctives, on pourrait comprendre que seule la conscience humaine est la seule verticalité inchangeable dans l’organisme humain qui, dès sa conception et tout au long de la vie est une présence de la protomatière qu’en matière de religion on appelle – Esprit Saint dont la permanence se manifeste dans l’ame des etres humains qui ont la conscience – chez certains ouverte et épanouie.
A titre de l’anecdote, citons ici Leopardi: ‘Domandato il tale qual cosa al mondo fosse piu rara, rispose: Quella ch’è di tutti, cioè il senso commune.)
LEE FLUX ET LE REFLUX DE L’ABOUTISSEMENT PSYCHO SOMATIQUE
Le problème, sans doute des plus complexes est le fonctionnement du cerveau humain qui, pour etre pleinement fonctionnel, nécessite une grande affluence de l’énergie qu’est la protomatière qui alimente et maintient en fonction les ‘neurones’ dans la très grande complexité des interactions amenant au niveau du conscient des données mises en cohérence virtuelle de la réalité perçue et jugée par le pouvoir intuitif de la conscience humaine.
Certains observateurs de ce processus, fort complexe, estiment que les ‘neurones’ apparaissent et s’estompent sans arret et cela en un grand nombre.
Le système de connection des neurones fait qu’ils fonctionnent normalement s’ils sont en tension constante d’énergie. C’est à croire que l’afflu de l’énergie suscite des ramifications et des connexions des neurons qui s’estompent si cette énergie créative est insuffisante. C’est là que la matière, ‘boustée’ par la protomatière, rend ‘sensible’ cette addition dans le conscient pour s’ajouter à la mémoire durable comme un fait nouveau unique et complémentaire, comme, à titre d’anecdote, chaque pierre ayant sa propre forme le fait dans un mur bien solidarisé et compact.
Cette synthèse des données instinctives éclairée par l’intuition se fait logique dans la correspondance entre le réel vécu et le virtuel cerné et mémorisé. Ce processus est d’autant plus spécifique chez l’homme c’est à dire différent par rapport au processus du conscient retenu tel quel sans un renvoi à la valorisation logique car les autres membres de la faune ne sont pas doués du pouvoir intuitif – ayant une gamme génétique faite entièrement en automatisme programmée: perception – réaction.
La conscience humaine en pulsion de la protomatière qui vient du réseau ininterrompu (omniprésence de la protomatière) se maintient dans la conscience pour régulariser les impulsions instinctives et leur donner un sens commun. C’est cette ‘assistance’ de la protomatière aux courants de perception qui controlent les neurones s’ajoutant à la memoire de façon d’autant plus durable que sa symétrie avec la réalité ambiante et bien cernée. Une bonne mémorisation règle notre jugement conscient et marque la stabilité de chaque personne humaine à part gràce à la spécificité de la perception faisant l’effet de l’unicité de chaque individu.
Ainsi est réglé notre conscient dans l’unicité de chaque individualité et l’accord du conscient de tout un chacun est du à l’impact de l’intuition venant de la conscience.
La logique devient un facteur important dans la formulation de la pensée créative que les individus dans toute leur spécificité instinctive se comprennent – capables des efforts communs censés etre sensés.